RESUME
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GERADIB (Groupe d’Etudes et de Recherches Agropastorales pour le Développement de Bandundu) et SOFT AFRICA.
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https://?pages=article&id=313| Titre : | Tenure foncière et revenu des maraîchers à Kinshasa : analyse des sites de N’djili CECOMAF et Kimwenza |
| Auteur(s): | Néhémie Butuena Bazungula, Jacob Mbanji Kakela, Claude Kasongo Sese, Merveilles Nsala Makiese, Coutinho Mbembe Ndombele, Pitshou Luvambuku Mabibi, Elisabeth Kahindo Mowavingi , Mabu Masiala Bode |
| Mots-clés: | Impact, tenure foncière, revenu maraicher, ménages agricoles, Kinshasa |
| Date de publication | 2025-03-29 15:05:35 |
| Resumé : | Description du sujet. La ville de Kinshasa, capitale de la République Démocratique du Congo, abrite des sites
maraîchers tels que CECOMAF et Kimwenza, où le maraîchage joue un rôle vital dans l’économie locale et la
subsistance des ménages. L’analyse de l’impact de la tenure foncière sur les revenus maraîchers dans ces sites
revêt une importance capitale.
Objectifs. L’objectif général poursuivi par cette étude est d’analyser l’incidence de la situation foncière sur les revenus des maraîchers dans la ville de Kinshasa. Il a été spécifiquement question de déterminer le profil des ménages maraîchers enquêtés, leur niveau des revenus et le lien qu’il y a entre les revenus et la situation foncière de ces maraîchers. Méthodes. Une enquête a été réalisée auprès de 45 maraîchers sélectionnés aléatoirement, dont 20 sur le site de N’djili Cecomaf et 25 à Kimwenza. Les données collectées ont été soumises à l’analyse qualitative (statistique descriptive) et quantitative (analyse économétrique) à l’aide des logiciels Microsoft Excel 2016, Stata 11 et Spss 2.0. Résultats. L’analyse de la situation foncière révèle que 40 % des ménages exploitants maraîchers sont propriétaires de leurs terres. Cette proportion varie considérablement entre les sites de production : à CECOMAF, 55 % des ménages sont propriétaires, tandis qu’à Kimwenza, 60 % des ménages sont locataires. Le statut d’ayant droit coutumier ou foncier reste minoritaire dans les deux sites. Concernant les documents fonciers, 38,5 % des ménages disposent d’un bail de location, 30,8 % possèdent un titre foncier et 23,1 % détiennent un certificat foncier. Les données obtenues montrent une différence de revenu entre les exploitants des sites CECOMAF et Kimwenza. Cependant, cette différence n’est pas statistiquement significative. Conclusion. Il se dégage une diversité des statuts fonciers parmi les exploitants maraîchers de CECOMAF et Kimwenza, avec une prédominance de la propriété foncière à CECOMAF et une prévalence de la location à Kimwenza. |
| Editeur : | RAFEA |
| DOI : |
https://dx.doi.org/10.4314/rafea.v8i1.14 |
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