ISSN : 2708-7743 (print), eISSN : 2708-5422
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Le Comité de rédaction
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Titre :  Estimation des apports hydrologiques annuels du réservoir du cycle hydrologique des eaux du sol et de la nappe aquifère du bassin versant de la N’djili, Ville de Kinshasa, République Démocratique du Congo
Auteur(s):  Richard Gasigwa Sabimana1,2,*, Roger Kizungu Vumilia1,2,3 , Cush Ngonzo Luwesi1,4 , Fidélise Ntedika Benga1 , Yves Lukuke Aseke1 , Nana Nkiassi Ngadume2,, Lydie Phemba Botulu2, , Chantal Palabina Gese2 , Margueritte Atinandunga Mondulu 2 , Nkongolo Mbuy
Mots-clés:  Services écosystémiques, forêt communautaire, vulnérabilité, Copargo, Bénin
Date de publication   2025-03-29 12:29:14
Resumé :  Description du sujet. Plusieurs études réalisées dans certains bassins du monde démontrent dans le contexte du changement climatique planétaire que les ressources en eau diminuent sous l’influence des activités anthropiques respectivement dans les domaines de l’agriculture, l’élevage, l’urbanisation et l’industrialisation. Le bassin versant de la N’djili est un bassin à vocation agricole et est sujet à des pressions anthropiques.
Objectif. L’objectif de cette étude est d’estimer dans le contexte du changement climatique, les apports hydrologiques annuels des aquifères, afin de connaitre la réserve en eau du sol et la qualité des eaux des aquifères du bassin versant de la N’djili en 2023, dans la ville de Kinshasa en RDC.
Méthodes. La méthode SWAT a été utilisée pour la simulation du cycle hydrologique à l’aide de l’équation du bilan hydrique. L’estimation des apports du cycle hydrologique dans les aquifères du bassin versant par l’équation du bilan hydrique a permis de vérifier l’hypothèse du départ.
Résultats. Les résultats de cette étude ont montré que les apports hydrologiques dans les aquifères du bassin versant de la N’djili sont stables durant la période 2023, malgré la pression anthropique que subisse ce dernier. Les stocks en eaux restent stables grâce à des recharges et des infiltrations régulières. Les infiltrations des pollutions d’origine agricole dans les aquifères sont tributaires de la profondeur moyenne de la surface jusqu'à la nappe phréatique.
Conclusion. Des études ultérieures dans le bassin versant de N’djili sont nécessaires en vue de connaitre le bilan hydrique des eaux de surface, l’état trophique, la qualité des eaux, etc. Mots-clés : Apport hydrologique, activités anthropiques, bilan hydrologique, bassin versant, Kinshasa
Editeur :  RAFEA
DOI :  https://dx.doi.org/10.4314/rafea.v8i1.4
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